Legrattage peut causer des lésions qui peuvent s'infecter, mais les poux sont inoffensifs et ne transmettent pas de maladie. En cas de doute, vérifier la racine des cheveux, derrière les Doù viennent les poux? La réponse à cette question est déjà claire: ils sont transmis d'une personne infectée à une personne en bonne santé. Argué que le pou saute de tête en tête, mais ce n'est pas vrai. Ces parasites ne savent pas comment sauter - ils rampent. Pour l'infection nécessite un contact direct avec le patient. LesMinijusticiers est un livre pour la jeunesse écrit par Hélène Bruller et dessiné par Zep. L'idée originale du livre provient des carnets de croquis de Zep, comportant une multitude de petits personnages anthropomorphes qui ont inspiré ces histoires au tandem. La première parution date du 31 mars 2003. Avantde décider de la question d'où ils viennentpoux, il vaut la peine d'examiner les principaux symptômes de cette maladie. Les poux sont de petits parasites qui se nourrissent de sang humain. Ils vivent principalement dans les parties poilues du corps. Le premier symptôme de la pédiculose est le prurit. Si votre enfant se gratte constamment la tête, de temps en temps GouttaPouxest un répulsif naturel contre les parasites externes comme les poux, puces, tiques, acariens ou punaises. Une seule goutte offre une protection naturelle pendant 3 mois à vos poules, pigeons et autres volailles. Appliquez une goutte ou deux directement sur la nuque pour protéger vos animaux. Usage préventif et curatif contre les Alorsd’où viennent ces mouches ? La mouche est un insecte appartenant à la famille des diptères. Une mouche ne naît pas mouche, mais passe par plusieurs transformations pour en devenir une. Les étapes du développement d’une mouche sont au nombre de 4. Tout d’abord, le stade de l’œuf, pondu en grand nombre par une mouche adulte. Doù viennent les poux ? Type de document : document électronique: Editeur : Lumni: Année de publication : 2017: Importance : 1 vidéo : 1 min 42 s: Format : Web: Langues : Français: Mots-clés : pou (insecte) animal parasite: Résumé : Le point sur les poux : description de ce parasite, ses besoins de chaleur et de sang, son origine, des conseils de prévention. Genre : Vidéo: Trides résultats de recherche; Premiers pas. Premiers pas; Ouvrir la recherche. Limiter la recherche. Terme recherché. Chercher. S'authentifier; Montréal-matin. 1961-1-13. vendredi 13 janvier 1961. Bibliothèque et Archives nationales du Québec. Montréal,1941-1978. vendredi 13 janvier 1961, Journaux, Montréal,1941-1978 Maisd'où viennent tous ces poux ? De la tête d'un copain ! Les poux sont des insectes qui s’abritent dans les cheveux. Ils se nourrissent en piquant la peau de ton crâne et en aspirant un peu de sang. Ça gratte ! Bien à l’abri, ils pondent des oeufs, appelés lentes, qui sont collés à la base des cheveux : c’est difficile de les tuer. Shampouine-toi. Pour s’en débarrasser, il Enoutre, ils donnent des poux de lin ou de pou, qui vivent dans le linge de lit, serviettes, plis de vêtements. D'où viennent les poux? Il y a une fausse opinion que les poux ne peuvent être trouvés que dans les personnes débauchées qui ne respectent pas les règles d'hygiène personnelle. Mais ce n'est pas vrai. Bien sûr, un corps et des cheveux sales contribuent à 5dxb. L’eau de javel fait partie de notre quotidien depuis plusieurs années. En plus d’avoir une action détachante, ce produit d’entretien élimine les agents microbiens sur une matière ou une surface. Et qui plus est, son prix est très abordable. Beaucoup l’utilisent d’ailleurs en guise d’insecticide. Bonne ou mauvaise idée ? Sachez que sous ses propriétés désinfectantes, fongicides et bactéricides, l’eau de javel n’est forcément pas notre meilleur allié pour venir à bout des cafards. On vous explique pourquoi ! Eau de javel – Faire estimer son devis Pourquoi l’eau de javel est-elle inefficace contre les cafards ? Pour lutter contre l’invasion de cafards à la maison, certaines personnes utilisent l’eau de javel. Il faut dire que ce produit est très plébiscité pour ses propriétés fongicides, bactéricides, biocides et sporicides. Mais attention, si la confusion est courante, cela ne rime pas pour autant avec insecticides. Et ce, même si l’eau de javel, par sa composition, est un puissant désinfectant. Et c’est précisément là que le bât blesse. Sa formule ne présente aucune action nocive sur ces bestioles. L’eau de javel n’est ni un insecticide ni une répulsive à cafards. Bien au contraire, ces derniers en ont une préférence marquée. Reste à savoir pour quelle raison ! En réalité, les produits javellisés dégagent des odeurs semblables à celles des phéromones sexuelles des blattes. Ces dernières vont donc émettre à leur tour une phéromone de rassemblement dans leurs excréments pour informer leurs congénères qu’elles ont localisé un endroit calme et favorable au développement de la colonie. L’eau de javel n’est donc pas prévue pour lutter contre la prolifération des cafards et pourrait même accentuer le phénomène. En utilisant de l’eau de javel, vous stimulez leur reproduction, ce qui ne fera qu’intensifier la propagation des blattes. Conclusion L’utilisation d’eau de javel contre les cafards est à éviter à tout prix ! Piqure de rappel sur les cafards Les cafards, aussi connus sous l’appellation de blattes, sont une véritable plaie dans notre quotidien. Parmi les quelque 6000 espèces présentes dans le monde, 5 sont considérées comme envahissantes en Europe. Il s’agit notamment Du cafard allemand Blattella germanicaDu cafard oriental Blatta orientalisDu cancrelat ou blatte américaine Periplaneta americanaDe la blatte des meubles Supella longipalpaEt du cafard des jardins Ectobius. Cafard fiche d’identité Particularités physiques Corps ovale et aplati sous la forme d’un exosquelette Couleur variant du jaunâtre au noir en passant par le brun Longueur Entre 12 et 45 mm Longévité Entre 6 mois et 12 mois Ponte et reproduction Une femelle peut pondre jusqu’à 100 000 œufs au cours de sa vie. Régime alimentaire Omnivore les blattes mangent de tout, qu’il s’agisse de matières en décomposition, de papiers ou des cheveux. Elles ont également un caractère cannibale, dévorant leurs semblables et leurs larves. Signes d’infestation Présence d’une horde de cafards à la nuit tombée Odeur musquée désagréable Traces d’excréments les crottes ressemblent à des restes de café moulu. Présence d’oothèques poches à œufs de couleur brune Nuisances Vecteurs d’agents pathogènes, de bactéries et de virus Souillure des appareils électroménagers, des vaisselles et des aliments Les salives et les déjections peuvent provoquer des réactions allergiques, de l’eczéma, voire de l’asthme, chez les personnes sensibles. Facilement identifiables à leurs exosquelettes et leurs longues antennes, ces bestioles se trouvent généralement dans des endroits chauds, sombres et humides. La nuit, elles envahissent notre demeure en quête d’eau et de miettes de nourriture. En plus d’encrasser nos cuisines et nos salles de bains avec leurs excréments, les blattes propagent diverses maladies comme la gastro-entérite, la salmonellose, l’hépatite, la tuberculose, la fièvre typhoïde ou encore la dysenterie. Une femelle peut pondre jusqu’à 100 000 œufs durant sa courte vie. L’infestation peut donc vite avoir lieu si vous ne prenez pas les précautions nécessaires. Les règles à respecter Éliminer l’humidité Aérer régulièrement la maison Stopper les fuites d’eau Essuyer les sanitaires, les toilettes, les plans de travail, l’évier, les faïences de la cuisine… Enlever les sources de nourritures Éviter de laisser les aliments à l’air libre Fermer de façon hermétique les poubelles Nettoyer les débris alimentaires Vider les gamelles des animaux de compagnie avant la tombée de la nuit Boucher les issues Bloquer les conduits de ventilation avec des bas en nylon Colmater les fissures dans le sol et sur les murs Boucher avec du mastic les endroits susceptibles d’abriter des blattes plinthes, au-dessous de la baignoire… Ôter les encombrements Se débarrasser des objets encombrants papier journal, gros électroménagers, vieux meubles… qui pourraient servir de refuges à blattes. Les alternatives à l’eau de javel ! Bien qu’une hygiène irréprochable soit le meilleur moyen pour repousser les cafards, il arrive tout de même qu’ils s’installent dans la plus propre des habitations. Inutile donc de s’en vouloir. Et ne perdez pas non plus votre sang-froid voici des alternatives plus économiques pour venir à bout de ses bestioles ! Les solutions répulsives 1 Vinaigre blanc Pour éviter une invasion de blattes à la maison, vous pouvez les décourager en nettoyant la cuisine et le sol avec du vinaigre blanc. Tout comme l’eau de javel, ce produit est un excellent désinfectant excepté qu’il agit comme un puissant répulsif à cafards. 2 L’ammoniaque Les blattes ont une aversion pour l’odeur âcre et suffocante de l’ammoniaque. Pour ce faire, mélangez 10 cl d’ammoniaque avec 1 l d’eau. Nettoyez le sol, les faïences, le plan de travail et vos toilettes avec la solution. Cette astuce fonctionne également avec les autres nuisibles comme les rats et les puces. 3 L’huile essentielle d’eucalyptus citronnée Si vous ne supportez pas l’odeur du vinaigre blanc et de l’ammoniaque, vous pouvez toujours vous tourner vers l’huile essentielle d’eucalyptus citronnée pour faire fuir ces nuisibles. Pour en faire usage, il suffit d’imbiber avec quelques gouttes des bouts de coton ou des morceaux de papier journal que vous placerez dans divers endroits de la maison. Les solutions curatives 1 L’acide borique La fonction première de l’acide borique est de désinfecter les brûlures et les coupures de la peau. Mais saviez-vous qu’elle peut également vous être d’une grande aide pour gagner votre lutte contre les blattes ? En effet, ce produit attaque directement le système digestif des cafards qui succombent après quelques minutes. Pour l’utiliser, mélangez en parts égales du lait concentré dont les cafards sont friands et de l’acide borique. Fabriquez plusieurs boulettes avec la pâte obtenue et dispersez-les dans les endroits infestés dans les placards, sous les gros électroménagers, à côté de la poubelle… Répétez l’opération toutes les 15 jours. IMPORTANT Faites attention si vous avez des enfants ou des animaux de compagnie à la maison. L’ingestion de cette préparation peut entrainer des douleurs gastriques. 2 Le bicarbonate de soude Si vous avez du bicarbonate de soude à portée de main, mélangez-le à égalité de parts avec du sucre en poudre. Placez la préparation dans des petites coupes que vous répartirez dans les endroits infestés. Les blattes, attirées par le sucre, vont consommer le bicarbonate de sodium, qui va provoquer leur mort par déshydratation. Le mot de la fin Si l’on veut prévenir une invasion de cafards ou si l’on souhaite s’en débarrasser, mieux vaut donc éviter l’eau de javel à usage fréquent. Mais qu’on se rassure, nettoyer sa maison avec ce produit d’entretien n’aura pas de grave incidence si cela reste occasionnel. Les prédateurs des poules ne manquent pas ! Volants, rampants ou terrestres, vos volatiles ne sont pas à l’abri d’une mauvaise rencontre. La fouine est l’un de ses ennemis naturels et peut causer de gros dégâts au sein de votre poulailler. Comment l’en empêcher ? Photo by Brent Jones on Unsplash La fouine petit carnivore pour gros dégâts La fouine ou son cousin, la martre ou le putois est un petit carnivore doté d’un pelage brun et d’une tache blanche au niveau du cou. Elle mesure un peu moins de 80 cm de la tête à la queue et pèse jusqu’à 2 kg. Ne vous laissez pas avoir par sa frêle apparence comparé à d’autres carnivores ! La fouine est dotée de griffes et de crocs qui peuvent détruire une basse-cour et faire des ravages dans un poulailler. Les œufs sont les bonbons préférés des fouines. Malgré son petit poids, elle peut en manger jusqu’à 150 g jours, soit l’équivalent de 3 œufs. Attention cependant à ne pas l’accuser trop vite ! La fouine emporte les œufs pour les manger tranquillement au calme si vous trouvez un œuf percé et gobé, voyez plutôt du côté des prédateurs volants, si vous trouvez des coquilles éventrées, cherchez des traces de rats ou de hérissons. Photo credit [email protected] on VisualHunt En savoir plus sur les prédateurs des poules Au-delà des œufs, les poules excitent énormément les fouines, surtout si vos poulettes sont paniquées. La fouine monte alors en pression et poursuit sa proie jusqu’à lui asséner un coup de croc dans le cou pour la tuer sur-le-champ. N’y voyez pas du sadisme, c’est uniquement de la défense pour elle. Si vous retrouvez votre poulailler avec quelques victimes qui sont entières mais avec cette marque dans le cou c’est l’œuvre de ce petit carnivore redoutable. Comment savoir si une fouine est responsable ? Le mal est fait mais vous ne savez pas quel prédateur est responsable ? L’avantage avec la fouine, c’est qu’elle laisse des traces traces de pattes de 3 à 4 cm 4 voire 5 doigts avec des traces de griffes, cadavres de volaille intacts avec juste des coups de dents dans le cou, cris stridents et des traces de grattement dans des fleurs, coquilles d’œufs, ou encore longues crottes effilées. Éloigner la fouine de mon poulailler nos conseils Vous le savez, une fouine traîne dans le coin de votre jardin. Hors de question de laisser vos poulettes sans surveillance ! Heureusement, les moyens de protection ne manquent pas. 1. Investir dans un enclos grillagé Enclos, parc ou poulailler avec enclos, vos poules seront ainsi protégées de nombreuses attaques. La règle principale, c’est de ne pas se tromper dans votre choix de grillage. Ce dernier doit absolument faire moins de 2 ou 3 cm de diamètre. En effet, les fouines mais aussi les belettes sont très agiles et pourraient s’y faufiler sans souci. De plus, faites bien attention à enterrer le grillage profondément ou le caler solidement à l’aide de parpaings. Ces petits animaux creusent très profondément et peuvent mettre à mal votre installation. Poulailler Farmer XL 6 à 8 poules Bois FSC toit tôle avec extension parc grillagé 2. Enfermer vos animaux la nuit La fouine frappe de jour comme de nuit. Cependant, l’agitation diurne peut souvent lui faire rebrousser chemin alors que la nuit est plus propice à ses attaques. S’il n’est pas possible d’enfermer ses poules 24 h / 24, ne jouez pas trop la chance à les laisser gambader la nuit. Ça peut sembler bête, mais des poules enfermées entre 4 murs sans interstices, voir ci-dessous seront toujours mieux protégées que dehors. Rentrez-les chaque soir, vérifiez bien l’étanchéité de votre bâtiment et partez dormir sur vos deux oreilles. Même bien motivée, une fouine ne pourra pas faire de mal à vos poules. Et n’oubliez pas, placez votre poulailler de préférence à un endroit éloigné de toute végétation. S’ils n’ont pas de quoi grimper ou se cacher, les prédateurs les plus peureux ne s’y risqueront pas. 3. Boucher les trous La fouine peut se faufiler dans des trous de 5 cm de diamètre c’est agile !. Faites le tour de votre poulailler et attelez-vous à boucher chaque entrée avec du grillage ou des planches. Profitez-en pour placer un grillage à l’entrée des aérations de tuile. Si votre poulailler a des gouttières, c’est également une porte ouverte pour les fouines ! Ne les bouchez pas il faut bien que l’eau s’évacue, mais placez des cônes inversés partie étroite vers le ciel et partie large vers le sol pour éviter que la fouine ne s’y faufile. Photo by Zdeněk Macháček on Unsplash Une fois l’aménagement installé, vous pouvez doubler la garde en investissant dans d’autres accessoires de sécurité. Grillage, cage attrape-nuisible, portier automatique tous nos accessoires 4. Gagner du temps Tous ces travaux peuvent demander du temps et de l’investissement. Alors en attendant de pouvoir investir ou mettre tout ça en place, voici quelques astuces temporaires pour garder les fouines loin de chez vous. Bien sécuriser mon poulailler Bien placées à des endroits stratégiques, ces parfums peuvent faire office de répulsifs eau de Cologne, cheveux humains, spray ou produits anti-fouine, ail ou lavande à pulvériser autour du poulailler. La fouine est également sensible au bruit et attirée par la lumière. Veillez à éteindre les éclairages nocturnes non indispensables et à laisser une radio allumée si vous souhaitez les éloigner. Ne laissez pas non plus traîner vos déchets ménagers, ça peut les attirer. Mettez-les dans une caisse fermée pour emprisonner les odeurs. Enfin, si malgré tous vos efforts, vous ne pouvez empêcher les bestioles de s’approcher, il ne vous reste plus qu’à les attraper grâce une cage anti-nuisible. Cage attrape nuisible pliante peinte gros mammifere Gaun Vous avez désormais de quoi protéger votre basse-cour contre les fouines. Cependant, ces dernières ne sont pas les seules à menacer vos poulettes. Pour encore plus d’infos sur les prédateurs naturels des poules ou des conseils pour votre poulailler, direction notre section dédiée. L’invasion de pucerons menace ? Ou ils ont déjà élu domicile sur les plantes et les rosiers ? Il ne faut pas s’alerter pour quelques bestioles. Mais s’ils deviennent trop envahissants, on peut s’en débarrasser facilement sans recourir à des pesticides nocifs pour la santé et l’environnement. Il existe des astuces préventives ou des traitements naturels, écologiques et efficaces. Sommaire Attirer leurs prédateurs naturels Le perce-oreille La coccinelle Avant de traiter, s’assurer de ce sont bien des pucerons Réduire les colonies de façon mécanique Poser des rubans anti-fourmis Projeter de la cendre de bois Traiter avec des recettes maison Pulvériser une solution à base de savon noir - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 1. Attirer leurs prédateurs naturels Dans la nature, la plupart des insectes possèdent des prédateurs. Heureusement pour le jardinier, les chasseurs de pucerons sont faciles à favoriser. Ainsi, les coccinelles, syrphes, chrysopes et perce-oreilles dévoreront les colonies de façon naturelle. Favoriser la biodiversité est le meilleur moyen d’attirer ces insectes auxiliaires. On leur prévoit des petits coins sympas pour s’installer, on plante des végétaux indigènes, on pose des abris… > Voir nos 8 idées pour favoriser la biodiversité au jardin. Le perce-oreille On l’appelle aussi pince-oreille ou forficule. Cet insecte est loin d’être le plus populaire et, pourtant, c’est un grand amateur de Jean-Daniel Echenard [CC-BY-ND] Au début du printemps, on construit un pot-abri pour les perce-oreilles Se munir d’un pot en terre cuite ayant un petit trou dans le fond. Faire un nœud dans une corde et la glisser à travers le trou, de l’intérieur vers l’extérieur, de façon à pouvoir tenir le pot à l’envers par la corde. Remplir le pot de paille. Pour maintenir la paille dans le pot, poser un grillage sur l’ouverture ou accrocher quelques bâtons en travers de l’ouverture. On peut s’aider de fil de fer pour maintenir le tout solidement. Suspendre le pot à l’envers dans une haie ou le poser sur le sol pour que des pince-oreilles grimpent à l’intérieur et y élisent domicile. À partir de juin, on déplace le pot habité dans les zones proches des pucerons, au gré des besoins. Les pince-oreilles iront chasser les pucerons proches de leur pot-abri. La coccinelle La coccinelle est une grande amatrice de pucerons. Un jardin bien équilibré accueille souvent ces insectes utiles au jardinier. Pour les encourager à élire domicile chez soi, on peut disposer des petits tas de branchage ou de feuilles mortes à divers endroits du jardin. Les coccinelles y passeront l’hiver à l’abri. On pourra enlever ces abris du jardin seulement à partir de mars. conserver des plantes à fleurs comme les pâquerettes, le pissenlit, la tanaisie, la berce commune... Les coccinelles se nourrissent de leur pollen au printemps et en fin d’été, quand les pucerons sont rares. laisser s’épanouir quelques colonies de pucerons pour garantir assez de ressources aux coccinelles. Pas besoin de leur sacrifier les fleurs et légumes du jardin, quelques plants d’ortie et une haie indigène attireront des espèces de pucerons bien spécifiques. Si on est envahi de pucerons, on peut également acheter des larves de coccinelles dans le commerce. On privilégie bien sûr les espèces indigènes, comme la coccinelle à deux points Adalia bipunctata. On évite absolument l’espèce asiatique Harmonia axyridis qui est très vorace et se nourrit d’autres coccinelles. Larve de J-Luc [CC-BY-SA] 2. Avant de traiter, s’assurer de ce sont bien des pucerons Les pucerons sont de petits insectes de couleur verte, noire... Leur taille dépasse rarement 4 mm. Assemblés en colonies, ils piquent et sucent de nombreuses plantes du jardin pour boire leur sève. Ils fragilisent les végétaux ils ralentissent leur croissance, leurs feuilles se déforment et ils peuvent attraper des maladies. 3. Réduire les colonies de façon mécanique Les boutons de rose sont envahis de pucerons ? On peut disperser les colonies à l’aide d’un jet d’eau. Un simple jet du tuyau d’arrosage suffit. Les colonies ainsi éclatées ont du mal à se reconstruire. Bouton de rosier envahi de Jamain [CC-BY-SA] En cas de grandes colonies, on peut aussi couper la branche atteinte. Attention de dégainer son sécateur seulement quand le problème devient trop important, sous peine d’affaiblir les végétaux. On dépose ensuite la branche dans un endroit du jardin où les pucerons ne sont pas un problème. Pour les courageux, on peut aussi écraser les pucerons avec les doigts quand c’est possible. 4. Poser des rubans anti-fourmis Si les pucerons ont des prédateurs, certains insectes les protègent au contraire. C’est le cas des fourmis qui les élèvent véritablement pour leur production sucrée, le miellat. Très friandes de cette gourmandise, les fourmis prennent soin des pucerons jusqu’à les déplacer quand la sève vient à manquer et éloigner leurs prédateurs. De la même façon qu’un berger tient le loup éloigné de ses moutons. Pas facile pour une larve de coccinelle de dîner dans ces conditions ! Pour laisser la place libre aux prédateurs, on peut placer des bandes de glu autour des végétaux sensibles aux pucerons, comme les arbres fruitiers. Elles formeront une barrière difficile à traverser entre les colonies de fourmis du sol et les pucerons. On veille aussi à privilégier les glus à base d’ingrédients naturels cires, résines… ; placer le ruban assez haut pour éviter que les fourmis trouvent un autre accès herbe haute, branche d’un arbre mitoyen…. 5. Projeter de la cendre de bois Sur les colonies de pucerons importantes, on peut utiliser la cendre de bois. On privilégie la cendre fraîche, récupérée en fin de saison dans son poêle ou sa cheminée, et on porte des gants. La cendre est facile à utiliser. On en saupoudre un peu sur les colonies de pucerons pour les éliminer. On renouvelle l’opération après quelques jours si nécessaire. 6. Traiter avec des recettes maison Plusieurs recettes maison sont faciles à concocter à partir de végétaux du jardin. Elles sont écologiques et économiques. Par exemple une infusion d’ortie ou de tanaisie ; une macération d’ail, de piment ou de fougère ; un purin de fougère ou de tanaisie ; une décoction de rhubarbe. Selon la recette, on pulvérise ou on arrose le mélange sur les plantes colonisées par les pucerons. 7. Pulvériser une solution à base de savon noir En dernier recours, on peut utiliser du savon noir contre les pucerons. Ce savon naturel est composé d’huile d’olive ou de lin. Bien que biodégradable, le savon noir est actif sur de nombreux insectes qu’il asphyxie à son contact. On utilise cette solution seulement si les autres moyens n’ont pas fonctionné et en l’absence d’autres insectes utiles abeilles par exemple. La recette est très simple Diluer 75 ml de savon noir liquide ou 20 g de savon noir en pâte dans un litre d’eau. Utiliser de l’eau tiède pour faire fondre la version pâte. Placer le mélange dans un vaporisateur. Vaporiser sur les colonies de pucerons. L’opération peut être répétée après 8 jours si besoin. Sources et pour en savoir plus Comment éviter les pesticides au jardin et au potager ? Brochure C'est toujours les p'tits qu'on pschiiit ! Petit guide pour éviter les pesticides à la maison et au jardin 8 conseils pour préparer un jardin écologique L’asbl adalia

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