Gérerles relations avec sa belle-famille n'est pas toujours évident. Quelles sont les trois principales causes de conflits et comment les résoudre ? Réponses avec Clotilde Marchant, auteur de Isabellea 45 ans et élève seule ses six enfants depuis 13 ans. Son mari, Charles, purge une peine de 25 ans de prison. Malgré son absence, cette famille est parvenue à rester unie. Autrepoint: les mères sont plus souvent seules avec les enfants lors de la réalisation de ces divers tâches, que les pères, qui ont souvent le soutien de leur conjointe. Et ce n'est pas fini. Cettemère de trois enfants est accusée d’avoir tiré sur son conjoint de 36 ans avec un fusil de chasse à leur domicile de Montreuil-en-Caux, le 16 octobre 2016. La femme assure n’avoir Aprèsle choc de la rupture, celui de l’amère trahison commise pas la chaire de leur chaire : leur mère. Nos invitées ont dû faire face à une double déloyauté, lorsque leur conjoint Quandles mères sont anorexiques. 1 L ’alimentation est un axe principal d’interaction autour duquel se noue la relation mère-enfant. En effet c’est une tâche développementale essentielle au cours de laquelle la mère, préoccupée par ses propres troubles alimentaires, peut exposer son enfant à des troubles ultérieurs. Retrouvezles intégrales de l’émission sur FranceTV : Nos invitées ont vécu une double trahison, enco Découvredes vidéos courtes en rapport avec leur conjoint est parti sur TikTok. Regarde du contenu populaire des créateurs suivants : 📹(@tv_repost__), 📹(@tv_repost__), 📺(@tvzappingg), 📺(@tvzappingg), 📺(@tvzappingg), 📺(@tvzappingg), 📺(@tvzappingg), 🎥(@repost.tv_), Schawn(@schawn_), Netflix(@netflix_starss). 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Elles témoignent dans Ça commence aujourd’ contacter aide et contact contactez-nous par téléphone, courrier, email ou facebook. du lundi au vendredi de 09h00 à 18h00. Télécharger l'application France tv Shutterstock Photographe Shutterstock Auteur Coup de Pouce Psychologie Six conseils pour mieux s'entendre avec sa belle-famille 24 avr. 2014 Qui prend mari prend pays... et belle-famille? Oui, pour le meilleur et pour le pire! Notre belle-famille, ce n'est pas notre famille. On a beau nous accueillir à bras ouverts, on s'y sent rarement aussi à l'aise que chez nos parents. Les racines ne sont pas aussi profondes, avance le psychologue Pierre Faubert. Et puis, très souvent, il y a cette assurance que notre famille sera toujours là, quoi qu'il arrive. On peut rarement en dire autant de notre belle-famille.»Par ailleurs, joindre une belle-famille, quelle qu'elle soit, exige toujours une certaine adaptation. Et s'adapter requiert de l'énergie, en plus d'engendrer un sentiment d'insécurité et beaucoup de stress, poursuit Pierre Faubert. Notre tempérament jouera dans la facilité qu'on aura ou non à s'adapter. Par exemple, si on est de nature plutôt calme et conciliante.»Mais si, malgré tout, l'adaptation s'avère ardue, est-on vraiment obligée d'aimer notre belle-famille? Je dirais qu'il y a une obligation familiale, croit le psychologue Roger Bronsard. Comme on disait dans le temps, la famille, c'est sacré! Il faut y apporter un soin particulier, déployer plus de temps, d'efforts, de compromis qu'avec des amis, par exemple.» Comment? Voici six situations de conflit fréquentes et des conseils pour y remédier. 1. Je suis universitaire, et l'éducation est une valeur importante pour moi. Mais personne dans ma belle-famille à part mon conjoint ne possède de diplôme. Non seulement on semble mépriser l'éducation, mais je sens qu'on me considère comme une drôle de si on disait franchement à notre belle-famille ce qu'on pense de son attitude? On évalue avec notre conjoint le positif et le négatif d'une telle intervention, puis on détermine ensemble qui la fera.Souvent, c'est l'enfant qui choisit de parler à ses parents, dit François St-Père. Mais il doit aborder la question délicatement, en leur faisant comprendre que, pour son couple, l'éducation est très importante et que c'est une valeur qu'il souhaite transmettre à ses enfants "J'apprécierais que vous ne fassiez plus de commentaires négatifs sur l'école lorsque nous et les enfants sommes en votre présence", pourrait-il dire.»Puis, on attend de voir comment les parents réagissent. Ils feront sans doute plus attention les fois suivantes, croit François St-Père. Si c'est le cas, on doit le reconnaître et le souligner. Cette reconnaissance permettra de poursuivre la relation dans un contexte moins tendu. Toutefois, si les parents ridiculisent la demande de leur fils, ce sera à lui de mettre son pied à terre. Il pourrait dire par exemple que les valeurs de sa femme sont aussi les siennes, que l'éducation est importante pour eux deux et qu'il aimerait qu'ils respectent ça.»2. Depuis l'arrivée de fiston, mes beaux-parents sont intrusifs et nous assaillent de leurs leur dit ou pas? Avant toute chose, il faut évaluer ce que nous coûtera cette initiative et ce qu'elle nous rapportera, conseille le psychologue François St-Père. Par exemple, si notre belle-mère garde Fiston trois fois par semaine, il se pourrait, si elle accueille mal nos commentaires, qu'on se retrouve sans gardienne pour quelques semaines. Est-on prête à ça?»Marie-Hélène, 34 ans, elle, ne l'était pas. À l'arrivée de notre premier bébé, les parents de mon chum nous ont beaucoup aidés, se souvient-elle. N'ayant pas un grand réseau, nous étions très heureux de toujours pouvoir compter sur une gardienne pas loin. Même si les conseils de ma belle-mère me tombaient souvent sur les nerfs, j'ai préféré serrer les dents plutôt que de risquer de compromettre cette précieuse ressource.» De plus, la jeune femme s'efforçait, en parlant avec sa bellemère, de mieux la connaître en lui posant des questions sur la façon dont elle avait vécu sa propre maternité. Ça m'a permis de mieux la comprendre et, donc, de mieux supporter certaines de ses interventions.»En revanche, si on est incapable de gérer le comportement de nos beaux-parents, on identifie, en compagnie de Chéri, ce qui cause problème. Leurs interventions nous donnent-elles l'impression qu'on est inadéquate? Leurs conseils vont-ils à l'encontre de nos valeurs? Se sent-on jugée? Notre conjoint, lui, apprécie-t-il une telle présence de la part de ses parents?Cela fait, on décide qui des deux interviendra et de quelle façon. On agit alors avec beaucoup de délicatesse. On souligne d'abord tout ce que nos beaux-parents font de bien pour Junior, puis on les invite à ajuster les comportements qui nous dérangent. Lorsqu'on a une approche douce, ça se passe généralement bien, note François St-Père. Seulement, on a parfois tendance à accumuler les frustrations. La situation s'envenime alors et on finit par exploser, trop émotive pour avoir une idée claire de la situation et pouvoir avoir un réel échange avec l'autre.»Bref, on n'attend pas pour en discuter. Et si nos beaux-parents réagissent plutôt mal au départ, on ne s'en formalise pas trop. Il ne faut pas s'attarder à la première réaction, conseille François St-Père. Ce qui importe vraiment, c'est ce qui se passe après. Nos beaux-parents ont-ils considéré et intégré nos commentaires? Ont-ils modifié certains de leurs comportements? Auquel cas, on peut facilement excuser leur réaction initiale.»3. Mes belles-soeurs ne cessent de me comparer à l'ex de mon chum, qu'elles aimaient beaucoup.Manifestement, il y a là un deuil qui n'est pas fait, croit la psychologue, auteure et conférencière Ghislaine Labelle. Si la situation perdure, on doit prendre notre place. On peut commencer par reconnaître leurs sentiments "Je sais que vous avez des liens forts avec votre ex-belle-soeur et j'admire ça. J'aimerais bien avoir une telle relation avec vous." Peut-être cela les aidera-t-il à réaliser qu'elles tenaient des propos blessants à notre endroit.» Puis, on s'organise pour créer des occasions propices aux rapprochements. Ces moments passés avec nos belles-soeurs nous permettront de mieux les connaître et de créer un lien plus personnel qui nous aidera à prendre notre place auprès d'elles.»Et si on n'a vraiment pas d'atomes crochus? À chacun d'y aller selon sa tolérance, répond Mme Labelle. Certaines se concentreront sur le positif de ces réunions familiales, par exemple la bonne relation qu'elles ont avec leur belle-mère, tandis que d'autres préféreront quitter la table devant une remarque désobligeante. Personne n'est tenu de subir une humiliation. D'ailleurs, on gagne plus à s'affirmer - avec aplomb mais sans agressivité - qu'à tolérer ce genre de chose cela incite les gens à réfléchir à leur comportement et cela suscite un plus grand respect à notre endroit. Mais je vous préviens, ça peut jeter un froid autour de la table!»Selon la spécialiste, opter pour une certaine indifférence peut également avoir son effet. C'est ce qu'a fait Mélanie, 35 ans. La première année, j'ai tout fait pour amadouer mes belles-soeurs, qui, clairement, ne me blairaient pas, se souvient la jeune femme. Plus j'essayais d'être gentille, plus elles me rejetaient. Ma belle-mère, qui m'aime beaucoup, leur disait pourtant que j'étais une bonne personne, mais ça n'aidait pas. Puis, j'en ai eu assez j'ai arrêté ma campagne de séduction et je les ai ignorées. Je me suis appliquée à renforcer les liens que j'avais avec les autres membres de ma belle-famille. Peu après, elles ont commencé à changer d'attitude à mon endroit. Nos rapports se sont grandement améliorés depuis.»4. Ma belle-mère est carrément détestable!Ici, le dialogue avec notre conjoint est essentiel. Ayant grandi auprès de sa mère, notre conjoint a peut-être du mal à prendre du recul face à ses agissements, croit Ghislaine Labelle. Peut-être ne la voit-il pas comme elle est vraiment, ou peut-être a-t-il de la difficulté à s'affirmer devant elle. Voilà pourquoi il importe de l'informer de nos problèmes avec belle-maman. Par exemple, on peut lui dire "Je sais que ta relation avec ta mère est importante pour toi, mais moi, je ne suis pas capable de vivre ça trop souvent. Alors, je n'irai chez ta mère qu'une fois sur deux."»elle-maman se montre parfois carrément odieuse à notre endroit? Devrait-on demander à notre chum de nous défendre? C'est souvent l'attente implicite des conjoints, affirme Ghislaine Labelle. Seulement, on demeure le principal responsable de notre bien-être et de nos relations. Si on a déjà dit à notre conjoint ce qui nous dérange et qu'il n'a pas jugé bon d'intervenir, on peut le prévenir que la prochaine fois, on répondra telle ou telle chose. Le fait de le mettre dans le coup lui évitera d'être surpris, le moment venu, ou de se sentir attaqué. Par ailleurs, on ne devrait jamais demander à notre conjoint de choisir son camp. Quand on force les gens à prendre parti, ça crée inévitablement des tensions.»5. Ma belle-famille est très peu démonstrative, alors que je viens d'une famille italienne. Comment concilier ces deux tempéraments?On voit souvent, au sein des couples, le feu qui marie la glace, observe Roger Bronsard. Le conjoint réservé qui va dans une famille chaleureuse est rarement indisposé par des démonstrations émotives plus intenses, tout au plus se sentira-t-il un peu mal à l'aise. Toutefois, la personne chaleureuse qui arrive dans une famille plus "pudique" a tendance à souffrir, car elle donne de la chaleur, mais n'en reçoit pas.»Que faire, alors? Redoubler d'affection? Au contraire, croit Roger Bronsard. La famille "froide" pourrait se sentir remise en question et cela pourrait provoquer une escalade plus la conjointe se fait chaleureuse, plus la belle-famille fait preuve de retenue. Cette dernière pourrait même aller jusqu'à se liguer contre elle, un réflexe de groupe assez fréquent. On doit donc essayer de s'ajuster à la belle-famille en gardant davantage pour nous nos émotions et en limitant les marques d'affection, tout en gérant du mieux qu'on peut notre frustration de ne pas pouvoir être complètement nous-même.»C'est d'ailleurs ce qu'a dû faire Valérie, 27 ans. Cette Italienne de nature plutôt expressive a vite réalisé que ses élans d'affection n'étaient pas les bienvenus au sein de sa belle-famille. Les membres de ma belle-famille sont très gentils, dit-elle. Mais à mon premier Noël parmi eux, émue d'être si bien acceptée, j'ai pris spontanément ma belle-mère dans mes bras. Malaise! Tout le monde a trouvé cela bizarre, à la limite un brin déplacé. Depuis, j'ai freiné mes ardeurs et notre relation ne s'en porte que mieux.»6. Dans ma belle-famille, les réunions sont fréquentes et tout le monde doit y être. La famille compte aussi pour nous, mais on ne ressent pas le besoin - et on n'a pas le temps - de les voir chaque semaine.Il faut en parler avec notre conjoint, lui dire qu'on aime sa famille, mais que tout le temps qu'on y passe nous empêche d'honorer d'autres engagements ou simplement d'avoir du temps pour nous, dit Roger Bronsard. Et il est essentiel de faire preuve de souplesse et d'être solidaires si on veut en venir à une entente.» Par exemple, on peut décider, de concert avec notre partenaire, d'abréger nos visites hebdomadaires ou encore de ne l'accompagner qu'une fois sur quand vient le temps de décliner l'invitation, on doit être prête et avoir quelques bonnes raisons sous la main on est attendue ailleurs, on a besoin de repos, etc. Avec le temps, les gens réaliseront qu'on a d'autres occupations et ils accepteront qu'on soit moins présente, affirme Roger Bronsart. L'important est de préserver l'amourpropre des gens, de faire en sorte que personne ne se sente rejeté et de garder une fréquentation minimale acceptable qui permet de maintenir le lien.»La relation avec belle-maman affecte plus les femmes Pour 60% des femmes, une relation conflictuelle avec leur belle-mère engendrerait chez elles beaucoup de stress, alors que seulement 15% des hommes s'en disent réellement affectés. C'est ce qui ressort d'une étude menée par des chercheurs de l'Université de Cambridge Angleterre dont les résultats sont parus en 2008. Les principales causes de conflit entre les femmes la façon d'éduquer les enfants et d'exécuter les tâches ménagères. Les résultats d'une étude plus récente 2013 de l'Université du Wisconsin abondent dans le même sens les mères seraient beaucoup plus inquiètes de leur fils que de leur fille quand ceux-ci sont en couple, craignant que leur belle-fille ne prenne pas assez soin de fiston ou qu'elle tente de le changer. Les belles-filles redouteraient, quant à elles, que leur belle-mère ne s'ingère dans leur vie de couple. Résultat un terrain beaucoup plus propice aux conflits!Pour aller plus loin Les Belles-mères, les beaux-pères, leurs brus et leurs gendres, par Aldo Naouri, Odile Jacob, 2013, 316 p., 18,95$. Belle-famille attention!, par Susan Forward, Interéditions, 2003, 256 p., 43,95$. Psychologues > Thérapie brève > Questions > Je ne supporte plus mon conjoint et son fils Bonsoir, je voudrais comprendre ce qui m'arrive je ne supporte plus mon conjoint ni son fils au point de ne plus avoir envie de rentrer; il y a eu une cassure en moi en février j'ai du me faire opérer et mon conjoint n'a pas reporté ses congés au ski il est parti avec son fils et sa famille ; je suis restée toute seule ;depuis ils me dégoûtent je ne vois qu'un gosse capricieux et un père fadasse à la botte de son môme, pas un conjoint. Je m'ennuie alors je me réfugie chez mes amis et à mon travail, je ne veux plus rentrer ou qu'il me touche. Qu'est-ce qu'il m'arrive ? Je ne sais pas si je dois le quitter ou rester, j'arrive même à souhaiter qu'il me jette tellement je suis mal avec eux, je ne supporte plus leurs égoïsmes, ils vivent que pour eux et je me contente des miettes depuis deux ans. Ça fait 6 ans qu'il est divorcé, ça fait 6 ans que le père et le fils parle de maman la mère comme une sainte alors qu'elle a quitté mon conjoint pour son meilleur ami et qu' ils sont mariés maintenant. Je ne suis pas chez moi tout me dégoûte chez eux, je n'aime pas leurs modes de vie et ils n'ont pas envie d'en changer. Est-ce que je suis déjà rentrée dans le processus de rupture ? Je n'en peux plus. Merci de votre aide. Quelle est votre réponse ? Réponse envoyée Nous validerons bientôt votre réponse pour ensuite la publier Une erreur s'est produite Merci de réessayer plus tard Meilleure réponse 13 MARS 2017 Cette réponse a été utile à 6 personnesBonsoir Carole, Je comprends votre état d'âme et votre déception; en février ce qui est arrivé à été "la goutte" qui a fait déborder le vase de vos émotions! Je pense qu'il serait important de parler avec votre conjoint afin de mettre en clair vos souffrances et sa position. Si vous pensez que vous ne pourrez pas y arriver n'hésitez pas à faire appel à un/une thérapeute de couple et allez y tous les deux, vous pourrez trouver une solution ensemble. Ainsi votre conjoint pourra enfin mettre son fils "à sa place" de fils . Courage vous verrez qu'il y aura une solution. Bien à vous Livia Clara-Vilnat praticienne en psychologie clinique Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 6 réponses 14 MARS 2017 Cette réponse a été utile à 1 personnesBonjour Carolle, Vous semblez avoir bien réalisé ce que vous ne voulez plus vivre avec cet homme, et cette famille. Son attitude, alors que vous étiez opérée et restiez seule semble être le déclencheur du ras le bol. Vous n'en pouvez plus de ce que vous avez vécu et ne voulez plus vivre ainsi. Ce serait peut être bien de vous faire accompagner par un thérapeute pour comprendre pourquoi vous avez supporté cette situation toutes ces années sans vous affirmer. Et décider de ce que vous faites maintenant. C'est peut être le bon moment pour vous de faire le point dans votre vie et vivre ce que vous avez vraiment envie de vivre. La prise de conscience est la première étape du changement. Courage pour cette nouvelle étape qui commence. Bien à vous, Mireille Lambert Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 14 MARS 2017 Cette réponse a été utile à 2 personnesBonjour, Oui, sans doute êtes -vous entrée dans le processus du détachement avant la rupture. Le fait que votre compagnon ne soit pas resté près de vous et ait privilégié ses vacances au ski avec son fils a été "la goutte qui a fait déborder le vase". Il semble que votre compagnon fasse couple avec son fils unique plus qu'avec vous dans la nostalgie de leur vie familiale passée... On a en tout cas l'impression d'une triade inversée, lui et son fils et puis vous; au lieux de vous deux les adultes en coupe et l'enfant... Vous semblez être assez lucide sur la situation, à vous de voir donc... Bien cordialement, Fabienne Verstraeten Psycho-praticienne analytique Fabienne Verstraeten Psy sur Marseille 966 réponses 3838 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 14 MARS 2017 Cette réponse a été utile à 1 personnesBonjour, j'entends votre douleur et votre déception. L'épisode su ski n'a, semble-t-il, fait que révéler ce qui semble exister depuis longtemps. Bien entendu, pour votre conjoint, il ne s'agit pas de choisir entre son fils et vous mais de savoir ce qu'il veut vivre avec vous. Comment se passe votre relation avec son fils? Avez-vous réussi à tisser des liens avec lui? Car vous avez choisi un conjoint qui a déjà une histoire et un enfant. C'est à prendre en compte. Il semble important que vous puissiez parler avec votre conjoint, lui dire ce que vous ressentez, écouter ce qu'il ressent...et votre projet commun de couple mais aussi de famille. Et savoir faire les efforts nécessaires pour que ces relations se tissent autrement ou alors, pour prendre les décisions qui s'imposent. Ne laissez pas "pourrir" les choses, vous risqueriez de sombrer vous aussi. Cordialement Jean-Luc Kerdraon Psy sur Cormelles-le-Royal 488 réponses 867 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 14 MARS 2017 Cette réponse a été utile à 3 personnesMadame, Arrivée à ce stade de dégoût, et au vu de votre énoncé, je pense qu'effectivement vous n'avez plus rien à faire dans cette famille. Peut être que l'incident de votre opération vous a ouvert les yeux sur l'attitude réelle de votre compagnon... S'il vous est à ce point difficile de rentrer chez vous, de ne plus désirer physiquement votre compagnon, je pense que vous êtes prête à franchir le pas de la rupture. Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 13 MARS 2017 Cette réponse a été utile à 1 personnesBonjour Carole Votre déception de février semble être très douloureuse, cependant quand je vous lis j'ai l'impression que votre déception avait commencé bien avant... Vous ne semblez pas être bien, se réfugier ailleurs, ou chez des amis montre clairement votre situation. En effet ce n'est pas facile, seulement vous pouvez décider. Cordialement Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 13 MARS 2017 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, vous posez la question en termes de rupture, de votre côté. Mais tel que vous décrivez le situation relation très forte père et fils, vacances ensemble etc..., on peut se demander si la rupture n’est pas déjà consommée de l’autre côté. A vous d’en tirer les conclusions. Cordialement Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 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